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La dernière évolution du logiciel d'Adobe/Macromedia apporte des solutions aux besoins des développeurs, notamment concernant les transferts de fichiers et la liaison ActionScript-JavaScript. Aperçu de cinq des points forts de Flash 8, avec exemples de code.
 Le logiciel Flash n'est plus à présenter : désormais passé dans le giron d'Adobe, il fait partie des quelques logiciels développés par Macromedia qui ont rapidement conquis leurs marchés respectifs par leur approche novatrice et proche du Web. Flash est aujourd'hui un outil qui vise autant les graphistes que les programmeurs, et la dernière évolution de ce logiciel, surnommée "8-ball", sortie en septembre 2005, ne déroge pas à cette règle.
Après ses premières versions entièrement dédiées à l'animation vectorielle, Flash a pris un très fort virage depuis sa version 5, avec l'introduction du langage ActionScript, version d'ECMA Script adaptée aux Actions des éditions précédentes de Flash. Les versions suivantes ont continué sur ce chemin, Flash MX 2004 allant même jusqu'à propose une syntaxe alternative largement inspirée des langages Objet.
Pour compenser une évolution vers un mode programmation qui rebute les graphistes et designers, Macromedia s'était remis à penser à ces utilisateurs, en offrant toujours plus d'outils pour contrôler les animations Flash, et en laissant la possibilité d'écrire des programmes simples de la même manière que l'on utilisait les Actions avec Flash 4.
L'évolution proposée par Flash 8, continue sur cette balance graphistes/programmeurs. Chaque groupe y trouvera des nouveautés ou améliorations qui justifieront certainement le passage à cette nouvelle version. Nous allons ici passer au côté pratique, en voyant les principales nouveautés pour développeurs, exemples de code à l'appui.
Tutoriel réalisé par Xavier Borderie, JDN Développeurs
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Sommaire
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 Introduction |
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